"amor fati"
après plus de 2 ans de préparation, aujourd'hui, vendredi 29 mai 2009, ce blog signale & archive les conditions de l'existence de generic comme idée tangible (aspirant à la dignité du concept) et de l'e.space generic comme lieu sensible...
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vers un manifeste generic:
generic s'intéresse à et questionne l'image (animée et fixe) comme dévoilement et masque (imago), comme cause et effet du spec(ta)ulaire,
à la profondeur/surface et à la texture/haptique du (de l’ordre) symbolique,
à l'inframince et à l'archéologie du vide/saturé du quotidien,
à l'indécidable entre le "voir" et le "regarder", “the gaze”,
aux creux du language et aux discours de la parole,
à l'impossible neutralité des signes et à l'opacité mémorielle,
à l'aporie de l'injonction au jouir/visible et à la tension du désir/invisible,
à la différ(r)ance" et à la répétition,
à l'autre du même,
à l'image comme manœuvre d'évitement et comme simulacre d'un réel irreprésentable et inacceptable,
à la nuit...
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remerciements / aknowledgements:
generic ne saurait exister que grâce à la confiance exigeante & sans faille de J.-P.A. (voir rubrique "organigramme" dans “contenus”) & M.-L.D. (hommages renouvellés et durables, toujours), ce projet traduit/trahit (traduttore traditore) nos échanges, de bonne foi...
le soutien logistique & l'energie de A.K.G.,
les applications du régisseur A.W,
la "réelle présence" de C qua non,
les qualités immanentes et les mondes suggérés, ouverts et immédiats - si lointains - si proches des œuvres de nos créateurs partenaires:
spécialement Hélène Ezkaercéh pour ces recits transmnésiques, Daniel Jewesbury, Toni Garbini & Jepial impliqués depuis les prémisses de ce projet,
la "thextravagante" Estel Beauvais avec l'entité Apotheker: Etienne Széchényi, Jef Guillon,...
la générosité burlesque de Larry Cowan avec ses films/cinéma,
les perspectives non-euclidiennes de generic associés,
les "signes" de Jérôme Guibourgé,
les "mementos" de Joachim Lapotre,
les passages benjaminiens avec Tammie et Eran Gal,
le dialogue engagé depuis quelques jours, via France Culture et Studio 168, avec Kassandre.org et la conversation d'hier soir avec Joseph Paris dont le "Bordel 2.0" est une topographie du désir de désir, cela après "Toi m'aime” de Guillaume Carrier...
merci infiniment à tous et toutes.
enfin un immense élan de reconnaissance pour le travail exemplaire de la galerie Odile Ouizeman (*), sa programmation, les œuvres présentées et le courage/quête de sens sont une source d'inspiration permanente pour generic,
gratitude profonde pour cette rencontre en mai 2009 avec Odile Ouizeman facilitée par Axelle Blanc qui sait ce que je/nous lui devons...
enfin, Jepial, créateur en résidence generic, parle souvent du "temps qu'il reste à vivre", "amor fati", donc, puisque l'art insiste: "memento mori"...
(*) galerie Odile Ouizeman
10/12 rue des Coutures Saint-Gervais, 75003 Paris
http://www.galerieouizeman.com
sds @ generic, 290509
