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31/01/2010

generic, flux: “Napolecitta” de / by Roland Quelven: "Les Vertus Fractales du Détail" / Parallaxe
















"Digital collages and flash movies (combinations of numbers, paintings and masterpieces of Art history digitally assembled) devoted to an encyclopaedical description of an imaginary city. All this seen through the prism of the Detail, whether iconic or pictorial, it produces the same effect: "an invitation to travel inside".


Napolecitta ou les vertus fractales du Détail.
Collages numériques/sonores et vidéos consacrés à une description encyclopédique d'une cité imaginaire à travers le prisme du Détail. Qu'il soit iconique ou pictural, ce dernier produit le même effet: inviter à "Voyager en dedans".


Roland Quelven
















"Je suis plus sensible à un arbre calciné qu’à un pommier en fleur". Germaine Richier.











































"Napolecitta 45 | A portrait of the great hungarian artist Istvan Horkay through its artworks.


About Istvan Horkay

After graduating from the School of Fine Arts in Budapest in 1964, Horkay was invited to attend the Academy of Fine Arts inCracow -Poland, the Major Art and Cultural Center of Eastern Europe, where he received his Master of Fine Arts.He continued his Studies at he Royal Academy of Art in Copenhagen, Denmark. (1968) and did additional Post graduate work atthe Academy of Fine Arts in Budapest. (1971)

Horkay studied under the Internationally known Artist and Theater Director Tadeusz Kantor as well as Professors M.Wejman and J.Nowosielski. Palle Nielsen / Danmark. He received Diplomas in Graphic Arts, Painting, and Film Animation."


liens / links:

http://www.horkay.com/

http://www.wix.com/ihorkay/ihorkay

http://www.bolzanogold.com/tl46.htm
























































67 | La Chambre de Raphaël from R.Quelven on Vimeo.

"Le peintre ne prolonge rien, il retourne. Et de fait, de la visibilité, il fait son dernier costume, si simplement qu'il disparaît... " Raphaël Avenant.

A polyptych portrait of a painter."


intégralité des images & vidéos: © Napoleccita / Roland Quelven


site du projet / project’s website: http://www.napolecitta.com/

Antica Napoleccita @ facebook

@ vimeo: http://www.vimeo.com/9036853


& Parallaxe:


"La parallaxe est l’incidence du changement de position de l’observateur sur l’observation d’un objet. En d'autres termes, la parallaxe est l'impact (ou l'effet) de changement de position de l'observateur sur un objet observé."


http://fr.wikipedia.org/wiki/Parallaxe


“... La parallaxe (du grec parallaxis, « changement ») est un déplacement de la position apparente d’un corps dû à un changement de position de l’observateur. Elle est chez Slavoj Zizek, comme chez Jacques Lacan, qu’il réinvente, le point aveugle de « l’objet-cause du désir ». Ce qui fait, par exemple, que le tableau est dans mon oeil, mais que je suis en même temps dans le tableau ; que je me tiens hors de l’image et en elle. Fort de ces prémisses, l’auteur de Bienvenue dans le désert du réel (2005) s’attaque à la nature illusoire de la réalité. Il récuse l’idée d’une réalité substantielle. Il nous explique pourquoi il est impossible de voir la réalité dans sa totalité. Non parce qu’elle se dérobe à nos yeux, mais parce que je m’échappe en elle. Le turbulent Slovène combat la conception d’une réalité pouvant exister en elle-même. Il dénigre le trop-plein de la réalité. Il condamne l’hédonisme, l’injonction de jouissance, le documentaire facile, le pouvoir démesuré de la description, la naïveté du reportage. Il repousse la réalité, cette grimace du réel, disait Lacan, pour saisir sur le vif le sujet qui s’y perd. Comment parler du réel tel qu’en lui-même, indépendamment de son investissement psychique ? Et pourquoi le distinguer de la réalité commune ? Tout simplement parce que le désir de savoir, de voir, de sentir, de jouir, s’appuie sur des fantasmes, propres à chacun. Le réel dit la vérité d’une personne, tandis que la réalité ne décrit que sa situation sociale... “


Philippe Petit, extrait de “Parallaxe”, nos emphases, source


"... The more fundamental difference at issue can be measured by comparing the parallax idea with the old Heisenberg principle, which asserted that the object can never be known, owing to the interference of our own observational system, the insertion of our own point of view and related equipment between ourselves and the reality in question. Heisenberg is then truly ‘postmodern’ in the assertion of an absolute indeterminacy of the real or the object, which withdraws into the status of a Kantian noumenon. In parallax thinking, however, the object can certainly be determined, but only indirectly, by way of a triangulation based on the incommensurability of the observations.

The object thus is unrepresentable: it constitutes precisely that gap or inner distance which Lacan theorised for the psyche, and which renders personal identity for ever problematic (‘man’s radical and fundamental dis-adaptation, mal-adaptation, to his environs’). The great binary oppositions – subject v. object, materialism v. idealism, economics v. politics – are all ways of naming this fundamental parallax gap: their tensions and incommensurabilities are indispensable to productive thinking (itself just such a gap), provided we do not lapse into some complacent agnosticism or Aristotelian moderation in which ‘the truth lies somewhere in between’; provided, in other words, we perpetuate the tension and the incommensurability rather than palliating or concealing it. ..."


Frederic Jameson, extrait "First Impressions", nos emphases : source London Review of Books


"La parallaxe est le déplacement apparent d'un objet que provoque un changement du point d'observation. Le philosophe ajoutera que la différence observée n'est pas simplement subjective. Dans la terminologie hégélienne, on dira plutôt que le sujet et l'objet sont en fait intrinsèquement «médiatisés», si bien qu'un changement épistémologique dans le point de vue du sujet traduit toujours un changement ontologique dans l'objet lui-même.

On connaît aujourd'hui toute une série de parallaxes, dans des domaines très différents. Dans la physique quantique (la dualité de l'onde et du corpuscule) ; dans la neurobiologie (l'écart entre le cerveau et la pensée) ; la parallaxe de la différence ontologique : la discordance entre l'ontique et l'ontologique ; la parallaxe du Réel (le réel lacanien n'a aucune positivité substantielle, il est juste l'écart entre la multiplicité des points de vue qui le visent) ; la parallaxe de l'inconscient, qui commande l'absence de mesure commune entre les deux aspects de l'édifice théorique de Freud : l'interprétation des formations de l'inconscient et la théorie des pulsions ; et enfin la parallaxe politique, dont le vieux nom est «lutte des classes...."























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