vers une / towards a constellation “Hole in The Mind”
"Stalker/Solaris/Stalker"
Stalker/Solaris/Stalker from Istvan Horkay on Vimeo.
“Andrei Arsenyevich Tarkovsky
Water, clouds, and reflections were used by him for its surreal beauty and photogenic value, as well as its symbolism, such as waves or the form of brooks or running water.[22]
Bells and candles are also frequent symbols. These are symbols of film, sight and sound, and Tarkovsky's film frequently has themes of self reflection.”
"Mirror/Stalker/Solaris"
Mirror/Stalker/Solaris from Istvan Horkay on Vimeo.
“Tarkovsky's films are characterised by Christian and metaphysical themes, extremely long takes, and memorable images of exceptional beauty. Recurring motifs are dreams, memory, childhood, running water accompanied by fire, rain indoors, reflections, levitation, and characters re-appearing in the foreground of long panning movements of the camera.”
"Andrei Tarkowsky/ Mirror"
Andrei Tarkowsky/ Mirror from Istvan Horkay on Vimeo.
“The Mirror draws heavily on Tarkovsky's own childhood. Childhood memories such as the evacuation from Moscow to the countryside during the war, the withdrawn father and his own mother, who worked as a proofreader in a printing press feature prominently in the film.”
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"Paul Celan - Deathfugue"
Paul Celan - Deathfugue from Istvan Horkay on Vimeo.
"Paul Celan - Tenebrae"
Paul Celan - Tenebrae from Istvan Horkay on Vimeo.
"Paul Celan / Tenebrae II"
Paul Celan /Tenebrae II. from Istvan Horkay on Vimeo.
"Paul Celan/Todesfuge / La Chambre d' Roland Quelven"
Paul Celan/Todesfuge / La Chambre d' Roland Quelven from Istvan Horkay on Vimeo.
"Death Fugue
Black milk of daybreak we drink it at evening
we drink it at midday and morning we drink it at night
we drink and we drink
we shovel a grave in the air there you won't lie too cramped
A man lives in the house he plays with his vipers he writes
he writes when it grows dark to Deutschland your golden hair Marguerite
he writes it and steps out of doors and the stars are all sparkling
he whistles his hounds to come close
he whistles his Jews into rows has them shovel a grave in the ground
he orders us strike up and play for the dance
Black milk of daybreak we drink you at night
we drink you at morning and midday we drink you at evening
we drink and we drink
A man lives in the house he plays with his vipers he writes
he writes when it grows dark to Deutschland your golden hair Margeurite
your ashen hair Shulamith we shovel a grave in the air there you won't lie too cramped
He shouts jab this earth deeper you lot there you others sing up and play
he grabs for the rod in his belt he swings it his eyes are blue
jab your spades deeper you lot there you others play on for the dancing
Black milk of daybreak we drink you at night
we drink you at midday and morning we drink you at evening
we drink and we drink
a man lives in the house your goldenes Haar Margeurite
your aschenes Haar Shulamith he plays with his vipers
He shouts play death more sweetly Death is a master from Deutschland
he shouts scrape your strings darker you'll rise then in smoke to the sky
you'll have a grave then in the clouds there you won't lie too cramped
Black milk of daybreak we drink you at night
we drink you at midday Death is a master aus Deutschland
we drink you at evening and morning we drink and we drink
this Death is ein Meister aus Deutschland his eye it is blue
he shoots you with shot made of lead shoots you level and true
a man lives in the house your goldenes Haar Margarete
he looses his hounds on us grants us a grave in the air
he plays with his vipers and daydreams
der Tod is ein Meister aus Deutschland
dein goldenes Haar Margarete
dein aschenes Haar Shulamith
Paul Celan"
site de l’artiste / artist’s website: http://www.horkay.com/
& http://www.wix.com/ihorkay/ihorkay
@ bolzanogold, @ vimeo, @ facebook, @ art review, @ art net, @ wikipedia
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rhizome generic:
“... Que se passe-t-il quand un sujet observe une répétition ? Dans une philosophie de la représentation (par exemple Descartes ou Kant), le sujet semble rester à l’extérieur de la répétition et se contenter d’enregistrer passivement une succession de faits ou de cas. Mais enregistre-t-il des faits ou enregistre-t-il une succession de faits ? Ni l’un, ni l’autre. En réalité, il crée une synthèse nouvelle qui ne se trouve pas dans les faits eux-mêmes, à savoir la synthèse de la répétition elle-même. Si cette synthèse est un objet nouveau, il n’y a pas à proprement parler une représentation de la répétition, mais une modification de l’esprit du sujet C’est ce que Deleuze appelle « une différence dans l’âme contemplative ». La répétition a pour effet une modification de l’âme qui la contemple. Cette âme n’est pas représentante, mais contractante. Elle n’est pas un lieu qui re-présente l’objet externe, mais ce qui contracte la série des observations en une notion nouvelle, la répétition. Par un renversement ontologique inspiré de Bergson, Deleuze fait alors de la différence dans le sujet la condition même de la répétition. Plus précisément, il distingue deux répétitions : la répétition matérielle et la répétition spirituelle, celle-ci étant la condition de la précédente : Des éléments identiques ne se répètent que sous la condition d'une indépendance des « cas », d'une discontinuité des « fois » qui fait que l'un n'apparaît pas sans que l'autre ait disparu : la répétition dans la représentation est bien forcée de se défaire en même temps qu'elle se fait. Ou plutôt elle ne se fait pas du tout. Elle ne peut pas se faire en elle-même, dans ces conditions. C'est pourquoi, afin de représenter la répétition, il faut installer ça et là des âmes contemplatives, des moi passifs, des synthèses sub-représentatives, des habitus capables de contracter les cas ou les éléments les uns dans les autres, pour les restituer ensuite dans un espace ou un temps de conservation propres à la représentation même. Or, les conséquences en sont très importantes : cette contraction étant une différence, c'est-à-dire une modification de l'âme contemplative, et même la modification de cette âme, la seule modification qui soit la sienne après laquelle elle meurt, il apparaît que la répétition la plus matérielle ne se fait que par et dans une différence qui lui est soutirée par contraction, par et dans une âme qui soutire une différence à la répétition. La répétition est donc représentée, mais sous la condition d'une âme d'une tout autre nature, contemplante et contractante, mais non représentante et non représentée. La matière est en effet peuplée, revêtue de telles âmes, qui lui donnent une épaisseur sans laquelle elle ne présenterait, en surface, aucune répétition nue. Et ne croyons pas que la contraction soit extérieure à ce qu'elle contracte, ou cette différence extérieure à la répétition : elle en est partie intégrante, elle en est la partie constituante, elle est la profondeur sans laquelle rien ne se répéterait à la surface.
(G. Deleuze, Différence et répétition, Paris, P.U.F., 1972, p.366)"
par J-M Nicolle, mars 2003, source
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vers / towards “RGB”, projet - plateforme / project’s hub:
& “Solyaris / Solaris”, Andreï Tarkovsky, 1972
stills from Andreï Tarkovsky's 1972 film, a research project for "RGB”
liens / links Roland Quelven
le site de l’artiste / artist’s website: http://www.napolecitta.com/
Roland Quelven _ Antica Napolecitta @ generic
liens / links Jepial:
jepial @ generic, résidence 09-10: RGB, in progress, 3
jepial @ generic, résidence 09-10: 300 sec._RGB/I, II, III - in progress, 2
jepial @ generic, résidence 09-10: 300 sec._RGB/I - in progress
generic, flux: “The Passing” de / by Bill Viola - pour jepial @ generic / "RGB"
jepial @ generic, résidence 09-10, éléments d'intentions
jepial @ generic, "témoignage ?" / "testimony ?"