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12/11/2009

generic, flux: "L’Enfer”, Henri-Georges Clouzot & Serge Bromberg, Ruxandrea Medrea





















Angelo Bronzino, (Agnolo Bronzino, Angelo di Cosimo),

1503 - 1572,

Allégorie du triomphe de Vénus (détail), 1540-1545,

Huile sur bois, National Gallery, London


source image & aussi / also




pistes, laissant làOthello et sa descendance”:


en cinéma, dans le (non-)film dont il est sujet ici, le thème de la jalousie agit aussi comme signifiant du manque à être (et de désir de désir) par la saturation du voir: le jaloux, la jalouse (qui ne sont pas les envieux - registre imaginaire), sont eux dans le registre symbolique: (ils) “oeuvrent comme des herméneutes, traquant tout signe qui renverrait a un objet, la detresse et la jouissance venant de l’infinie multiplication des traces. Le monde,..., re-devient Texte...” (1).


Clouzot a-t’il cherché à saisir dans la forme / écriture cinéma, (le cinéaste comme “premier lecteur” du “monde accordé à ses//nos désirs”) l’injonction, insoluble dans la violence, de tout homme-enfant en manque de lui-même: “Au nom de la loi de ma jouissance - car ton existence meme, ta vie vie m’insuportent - tu ne jouiras pas!” (1) (voir les remarques de Clouzot sur les caprices de “starlette”), dont la surface-film saurait “montrer” l’épuisement dans le contrat toujours-déjà rompu (infidélité, défusion)?


s’agit-il d’un chiasme? où “ayant le feu pour père, et pour mère la cendre", le cinéaste (exténué?) importe l’actrice-Sissi (figure de la mélancolie) vers l’”amour fou: “LA BEAUTÉ SERA CONVULSIVE OU NE SERA PAS” (André Breton, Nadja), Clouzot investit alors le corps de Romy Schneider comme machine, comme dispositif, (voir extraits videos ci-après), pour le mettre au service des tourments, représentés à l’image, du mari-enfant jaloux joué/habité par Serge Reggiani (exténué lui aussi?), qui “ignore que ce qui le tue, que ce qu’il recherche et fait inlassablement retour, c’est bel et bien la mère, son corps, à jamais perdu, imprenable, inappropriable et, par conséquent inviolable parce que toute-voilée. Un cataclysme a provoqué la séparation (défusion) et rien ne sera plus Tout. De cela (il) ne pardonne pas le monde, personne, et surtout pas les figures de l’Autre qui pourraient surgir...” (1) (notre parenthèse)


il peut s’ensuivre que la supposée sensualité de Schneider (littéralement de-voilée), ici, est de l’ordre implacablement mutique et/donc de l’assujetissement: le mari-enfant-jaloux lui refuse la parole, “...s’enfermant ainsi lui-même dans le mutisme pour se transformer en oeil pur et dur...” (1): celui, paranoïaque (“qui n’y croit pas”), de la caméra, cet objectif dans le subjectif / psyché de l’homme-jaloux, aporie?



cette oscillation strictement binaire: dedans-dehors, homme-enfant / femme-mère, jouissance-plaisir, deuil-déni, etc., est manifestée, en partie, par l’usage formel de la couleur versus celui du noir et blanc, voire de l’objet du désir-délire (donc) à néantiser (voir Schneider ligotée sur des rails, prête a être sectionnée par une locomotive, image pulsionnelle / conformiste s’il en est) retient Clouzot dans le versant “passion tristede la forme cinéma, malgré son expérience majeure du cinéma mental (image-temps), tout deuil assumé, dans Les Diaboliques ou Le Corbeau (voir vidéos ci-après).


cherchait-il à contourner cette impasse par des tiers-champs du cinéma (ses mauvaises consciences): Clouzot s’adjoint les voies explorées par les arts visuels, tels l’op art et/ou l’art cinétique, par les avancées musicologiques de sa période, sans pour autant répondre (abusivement peut-être, ce rédacteur en convient, mais néanmoins) à Cézanne qui annonce une part essentielle du modernisme (vis-à-vis duquel ce cinéaste est en dialogue, pour le moins): “rendre visible l'activité organisatrice du percevoir", le cinéaste ne “saisit” pas le basculement du cinéma vers un “mode générique de potentialité qui n’est pas épuisé dans le franchissement de la puissance à l’acte”, “transitus de potentia ad actum.” (2)


ces questions demeurent ouvertes, vos remarques, suggestions, critiques sont toujours les bienvenues (ici) vis-à-vis de ce texte rapidement publié, il ne prend pas position critique puisque ce rédacteur n’a pas “vu” le documentaire sortit hier, il s’agit de pistes et se base sur ses lectures, les vidéos et écoutes disponibles dans les sites publics listés plus bas dans ce post.


notes:

(1) Michel Peterson, on Jalousies de Denise Lachaud, Denoel, 1998, ici

(2) “... a generic mode of potentiality that is not exhausted …, voir Nick Heron, Abandonment, Désoeuvrement, ici & pour l’ouverture de la citation latine (Saint Augustin - Pierre Lombard) voir ici


sds @ generic, 12.11.09

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Bande annonce L'enfer



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L'Enfer”: résurrection d'un film et du drame de Clouzot



“Avez vous jamais vu une Romy Schneider comme celle-là ? Ces images fascinantes sont tirées de « l'Enfer », le film d'un grand réalisateur, Georges Clouzot (« L'Assassin habite au 21 » et « Le Corbeau »…) .

Vous ne les avez jamais vues, et pour cause : le film a été abandonné trois semaines après le début du tournage, en 1963. Un tournage maudit, conduit par un réalisateur pourtant au faît de son art.

Les 14 heures de rushes ont été remisées pendant des années. Jusqu'au jour où la veuve du réalisateur, Inès Clouzot, s'est retrouvée bloquée dans un ascenseur avec Serge Bromberg, producteur et restaurateur de film. Ce dernier s'est retrouvé avec 185 bobines d'images « éblouissantes ».



Clouzot n'a pas réussi à réaliser « l'Enfer », qui devait pourtant, selon son ambition, révolutionner le cinéma. Frénésie d'essais en studio, retards, harcèlement de l'équipe, départ d'une des stars (Serge Reggiani) et pour finir, infarctus du réalisateur…


Pour raconter cette extraordinaire histoire, Serge Bromberg s'est associé avec la jeune réalisatrice Ruxandrea Medrea, dont il a produit un premier documentaire « Génération stagiaires ».


Pendant un an, Bromberg et Medrea vont retrouver les témoins du tournage, exhumer des photos, débrouiller les fils délirants de l'Enfer… Et chercher à comprendre les raisons profondes de l'échec du film.

Elles ne vont pas de soi : Clouzot, alors considéré comme un maître du cinéma, pouvait compter sur un budget quasi illimité de Columbia. Il dirigeait deux immenses stars, Serge Reggiani (43 ans) et Romy Schneider (26 ans). Cela ne l'a pas empêché de se noyer.


Le scénario est celui d'un film intimiste : un mari est jaloux de sa femme, jusqu'à l'obsession. Mais Clouzot veut aller beaucoup plus loin, jusqu'à la démesure, comme l'explique Ruxandrea Medrea :

« Clouzot avait une ambition énorme. D'un côté, il voulait raconter une histoire comme il avait l'habitude de le faire, c'est la partie en noir et blanc du film ; de l'autre il voulait tout exploser ! Vraiment : réinventer le cinéma.

C'est dans cette partie là qu'il s'est perdu. Il a commencé à faire des recherches, ce qui a vite tourné à la recherche fondamentale : dans les studios de Boulogne, pendant trois mois, avec trois équipes… Ce qu'il voulait, c'était entrer dans la tête d'un fou, et trouver comment on pouvait montrer à l'écran ce qui s'y passe. Et il s'est perdu… »


On pourra aussi voir l'échec de « l'Enfer » sous un autre angle : Clouzot sent qu'il est arrivé au bout d'une histoire, celle du cinéma qui a précédé la nouvelle vague. Il cherche à se renouveler, à trouver une voie, mais le monde qui s'ouvre n'est plus le sien.

Le mari fou de jalousie, c'est peut-être lui, et l'épouse qui rit, c'est peut-être le cinéma qui fuit vers d'autres modes d'expression. Ni le mari, ni le cinéaste ne savent plus où est le vrai et le faux : ils sont perdus.

Clouzot tournera trois ans plus tard un dernier film, « La prisonnière », que tout le monde a oublié.


« L'Enfer » d'Henri-Georges Clouzot, en salle le 11 novembre


PS. Allez, voici, pour la bonne bouche, un autre extrait de « l'Enfer » : le mariage de Romy Schneider avec Serge Reggiani. Quel sourire !”



source Rue89


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Henri-Georges Clouzot's Inferno - Film Clip 3



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Serge Bromberg & Ruxandra Medrea – "L’Enfer d’Henri-Georges Clouzot"


Autopsie d’un échec


"Le cinéma ne peut pas échapper à la notion de productivité". Sentence terrible prononcée par Bernard Stora, alors stagiaire à la mise en scène (devenu depuis réalisateur lui-même : Le Jeune marié, Un dérangement considérable…), qui fera hurler ceux qui gardent une conception romantique de la création cinématographique. Le film de Serge Bromberg et Ruxandra Medrea, mi-enquête, mi-reconstitution, sur les traces du mythique film inachevé (et supposé longtemps perdu) d’Henri-Georges Clouzot, L’Enfer, en est la démonstration par l’exemple.


Quand Clouzot entreprend ce film, en 1963, il est, depuis vingt ans et ses deux films avec Pierre Fresnay, L’Assassin habite au 21 et Le Corbeau, l’une des très grandes figures du cinéma français, l’un de ceux à qui l’on peut donner du "Maître", à une époque où les studios obéissent encore à une organisation très hiérarchique et figée. Mais il affronte aussi des années artistiquement plus incertaines, marquées à la fois par la bourrasque de la Nouvelle Vague et par des drames domestiques (mort de sa femme et comédienne Véra en 1960, dépression). Très marqué par sa collaboration avec Picasso en 1956 (Le Mystère Picasso) et sensible aux bouleversements artistiques en cours (le courant moderniste des arts plastiques, de la musique, de la mode…), Clouzot sent bien que l’on ne peut plus faire du cinéma exactement comme avant.


Avec Les Espions, en 1957, il s’était d’ailleurs essayé à un cinéma plus formaliste, plus mental, plus inquiet aussi, pour un succès incertain (à propos de ce film, Henri Jeanson aura ce mot, aussi cruel et injuste que sublime : "Clouzot a fait Kafka dans sa culotte"), l’ayant conduit à ce qui peut être considéré comme un retour en arrière avec La Vérité, ou une tentative un peu vaine de faire du vieux avec de nouvelles têtes (Bardot, Sami Frey), à l’instar de Marcel Carné avec Les Tricheurs, quelques années auparavant.


Romy Schneider


L’Enfer est d’une toute autre trempe. Non pas l’adaptation (impossible) de l’œuvre de Dante mais une plongée dans les propres névroses de Clouzot, la paranoïa (déjà à l’œuvre dans Les Espions) et surtout la jalousie, sous ses aspects les plus maladifs. Pour ce faire, il avait décidé d’entremêler scènes "objectives", de facture apparemment relativement classique quoique extrêmement travaillées dans leur composition graphique, et scènes "subjectives", censées représenter la confusion mentale du mari jaloux. Depuis plus de quarante ans, le mythe entourant ce film tenait surtout à ces dernières scènes. Au-delà d’une distinction finalement peu audacieuse entre réalité "à plat" et fantasmes distordant la réalité, ce que cette version du film nous montre de ces scènes est plastiquement réellement très impressionnant.


Si ce film avait été mené à bien, aurait-il effectivement ouvert une nouvelle voie dans l’expression cinématographique ? Difficile à dire, mais, dans l’univers du cinéma commercial avec stars (ou au moins vedettes confirmées), c’est possible.

D’autant plus que, luxe inouï, Clouzot bénéficia alors de capitaux (français puis américains) quasi illimités, lui permettant d’aller au bout de ses expérimentations, le faisant notamment collaborer avec quelques pionniers d’une musique électro-acoustique qui prenait alors son envol. Même et surtout après avoir visionné les kilomètres d’essais, souvent totalement délirants, tournés en studio à Boulogne durant de longues semaines. Inconcevable aujourd’hui !



Henri-Georges Clouzot et Romy Schneider sur le tournage


Mais ce luxe perdra Clouzot, qui finira par se noyer dans une autre de ses névroses (lui ayant d’ailleurs valu tout au long de sa carrière une réputation difficile), celle du perfectionnisme. La partie tournée en extérieurs du film, dans les très spectaculaires décors du viaduc de Garabit, traîna en longueur, au point de rendre le dépassement de planning inévitable et fatal au film, puisque le lac artificiel enjambé par le pont devait être vidé une vingtaine de jours après le début des prises de vue.


Le tournage n’ira même pas jusque-là, puisque après avoir littéralement exténué son armée de collaborateurs (dont pas moins de trois équipes d’opérateurs dirigés par quelques uns des meilleurs directeurs de la photo du moment) et carrément provoqué le départ d’un Serge Reggiani à bout de forces et de nerfs, Clouzot sera lui-même victime d’un infarctus qui mettra un point final au film, comme un acte manqué vis-à-vis d’un projet que son inconscient savait peut-être impossible depuis le début…


Grand restaurateur de trésors cinématographiques enfouis devant l’éternel avec sa société Lobster Films et ses collections Retour de flamme (surtout consacrées au cinéma muet), Serge Bromberg était certainement la personne idoine pour donner finalement vie à ce film, même si sa rencontre avec la veuve de Clouzot relève du hasard.


Son objet cinématographique est hybride, comme l’était d’ailleurs L’Enfer dans l’esprit de son géniteur, qui nous présente à la fois quelques séquences du film d’origine et documente sa production. S’y ajoutent quelques scènes additionnelles avec Jacques Gamblin et Bérénice Bejo destinées à combler l’absence de piste sonore sur les scènes tournées par Clouzot. Force est d’ailleurs de constater que les dialogues restent très attendus pour un film traitant de la jalousie ("Ou t’étais ? – T’es jaloux ?", bof…), ce qui donne d’autant plus de force au travail plastique de Clouzot, qui aurait peut-être pu se suffire à lui-même.


Romy Schneider


Pour L’Enfer, à l’atmosphère érotique très chargée (on n’oubliera pas de sitôt ce plan récurrent sur le décolleté vraiment très lâche de Dany Carrel…), qui aurait aussi pu faire école, après avoir certainement fait scandale, Romy Schneider était prête à prendre énormément de risques. Pour définitivement briser son image de Sissi déjà écornée par quelques films artistiquement beaucoup plus ambitieux mais peu vus (Le Combat dans l’île de Cavalier, Le Procès de Welles, Le Cardinal de Preminger…), mais aussi pour oser une sensualité qu’on ne lui connaissait pas et qu’elle n’exploitera guère par la suite (hormis dans La Piscine, mais sur un registre infiniment moins troublant, le principal "objet du désir" étant une toute jeune Jane Birkin).


La vision de ce document passionnant rend évidemment plus douloureuse encore la non existence de ce film tel que voulu par Clouzot, qui n’aurait peut-être été qu’à moitié réussi, mais cette moitié aurait probablement valu bien des chefs d’œuvre plus parfaits. Quelques années plus tard, Clouzot réalisera un dernier film, La Prisonnière. Autre variation sur la passion étouffante et mortifère, ce film à l’esthétique très pop est à bien des égards le remake largement raté de ce film qui n’existe pas. Malgré ce que son titre (volontairement ambigu ?) pouvait laisser penser, La Prisonnière n’est pas une adaptation de Proust. Pourtant, la jalousie maladive est l’un des grands thèmes de La Recherche du temps perdu et il est bien évident que Clouzot n’avait pas prénommé par hasard son couple de L’Enfer Marcel et Odette…


PS : Si, en voyant le film, cette histoire de restaurateur provincial fou de jalousie à l’égard des aventures extraconjugales (réelles ou seulement imaginées ?) de sa plus jeune et trop belle épouse vous rappelle quelque chose, rien de plus normal. L’Enfer selon Chabrol s’inspirait en effet largement, et assez balourdement, du scénario de Clouzot, François Cluzet et Emmanuelle Béart reprenant les rôles de Reggiani et Schneider. Et l’on comprend mal que le film de Bromberg et Medrea n’y fasse aucune référence ni ne fasse pas témoigner Chabrol lui-même, pourtant particulièrement bon client en interview…"


Cyril Cossardeaux, pour CultureOPoing


source


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liens / links:


Titre original : Inferno

France - 2009 - 1H34 - Genre : Documentaire, Drame

Date de sortie : 11/11/2009

Un film de : Serge Bromberg, Ruxandra Medrea

Avec : Romy Schneider, Bérénice Bejo, Jacques Gamblin

Distribué par : Mk2 Diffusion


http://www.mk2.com/sortiesfilmsmk2.html


http://www.mk2.com/troiscouleurs/inde...


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France Culture / Le RenDez-Vous par Laurent Goumarre du 11.11.09 - 19h03 - 20h00 recoit Serge Bromberg

“Fondateur de Lobster Films en 1984, il a réuni une collection de cinéma ancien de plus de 40000 titres rares. Faisant de sa maison de production un acteur majeur de la restauration de films dans le monde. Producteur délégué pour la télévision depuis 1994, il a produit plus de 500 magazines, émissions et documentaires.”



Serge Bromberg (texte) et Henri-Georges Clouzot (Photos)

Romy dans l'enfer

Albin Michel / Lobster - 5 novembre 2009


“Romy Schneider telle qu’on ne l’a jamais vue, torride, sexy, sensuelle, libertine. C’est-à-dire telle que la fantasme le personnage de son mari jaloux dans le film inédit et inachevé par Clouzot, L’Enfer, tourné en 1964.

En toile de fond, l’histoire d’un film maudit que Clouzot tourna au sommet de sa gloire mais dans lequel il se perdit lui-même : Serge Reggiani quitta le tournage pour dépression, Jean Louis Trintignant, appelé pour le remplacer, repartit au bout de 48 heures et Clouzot fut victime d’une attaque cardiaque alors qu’il tournait indéfiniment les mêmes scènes. L’Enfer aurait du être un événement cinématographique, mais après trois semaines de tournage, le projet fut interrompu. Et les images que l'on disait incroyables ne seront jamais dévoilées. Cet ouvrage les révèle : Romy Schneider n’a jamais été aussi belle.”


source & podcast


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Interview du réalisateur Serge Bromberg pour la sortie du film L'enfer de Henri George Clouzot.


Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo


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liens / links:


http://www.critikat.com/L-Enfer-de-Henri-Georges-...


http://www.lemonde.fr/cinema/article/2009/11/1...


http://www.cinemaniac.fr/news/l-enfer-de-clouz...


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Dans ce film, Clouzot tente de rendre compte cinématographiquement du processus de création. Pour cela, il filme Picasso au travail. Grâce à un procédé technique, le peintre compose plusieurs œuvres...



http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Mystère_Picasso






























source image


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LES DIABOLIQUES, 1955, CLOUZOT, BANDE ANNONCE



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LE CORBEAU, 1943, CLOUZOT, FRESNAY BANDE-ANNONCE



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Retour à la vie avec Louis Jouvet - H-G Clouzot 1949



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Vasarely - Parcours 1938-1980



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Disque à Manipuler by Jean-Pierre Yvaral



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Bridget Riley au Musée d’Art Modern



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